Il n'y a plus qu'à rentrer !!!

Maintenant que notre camping car shippe tranquillement au niveau du Sri Lanka et que nous avons fini de visiter la Thaïlande du nord en mode sac à dos. Nous avons quatre jours pour arriver par la route et le train jusqu’à l'aéroport de Bangkok

Tout ces derniers jours et nuits, nous allons les passer à changer d'hôtel et de moyen de locomotion. Mais pas de soucis avec l'option train de nuit, on est large.

Nous envisagions de profiter de nos dernier hôtels, restaurant et moments à Bangkok agréablement, mais c'était sans compter sur une visite surprise de la tourista qui vient s'inviter dans nos derniers jours.

Elle est vraiment sympa, sachant que nous partons bientôt, elle est venue nous dire au revoir à Julien et à moi. Heureusement, elle épargne les enfants. Ce qui leur permet de pouvoir profiter de leur dernier moment de piscine et de bons restaurant, surtout celui de glace ,)

Le 8 Juillet, nous prenons l'avion direction la France avec une escale à Doha aux Quatar.

Nous avons décider de ne rien dire à personne pour notre retour en France, nous souhaitons leur faire la surprise en arrivant chez eux.

En arrivant à l’aéroport, l'endroit est totalement désert. Bon d'accord, c'est un vol qui part tard dans la nuit, mais là avec le Covid, ça fait vraiment vide.

Pour rentrer dans l'aéroport, comme partout en Thaïlande, ils nous faut passer le test de la température, signer notre passage et bien se laver les mains. Une fois ces démarches faites nous pouvons entrer dans le bâtiment.

D'ailleurs les seuls passagers présent sont ceux de notre vol, nous avions peur qu'il soit annulé, mais non c'est bon. Ouf !!!

Au moment d’enregistrer nos vols, l’hôtesse nous remet des documents informatifs relatif au Covid à remplir pour notre destination. Nous essayons de lui demander si c'est pour le Quatar ou la France, mais elle ne sait pas nous répondre. Bon tant pis, on verra plus tard.

Finalement, on prévient quand même ma grand mère que nous débarquerons le lendemain après-midi en France. Cela nous rassure et le choc de nous revoir après plus d'une année entière sera aussi moins dure pour elle :)

Nous avions aussi préparer les enfants pour ce vol, sur la patiente pour les temps d'attente et de vol, sur la sensation que l'on pouvait ressentir au décollage et à l’atterrissage, tout en les rassurant, en leur parlant des hôtesses de l'air et des stewards qui sont la pour prendre soin de nous dans l'avion. Et oui, car pour Natan et Robin, c'est encore une nouveauté pour eux, ils n'avaient encore jamais pris l'avion.

Avec le Covid, Quatar Airways n'a pas fais les choses à moitié, pendant tout le temps de nos deux vols, il nous faudra porter un masque et une visière.

Au vu des demandes de la compagnie, cela nous rassure un peu, même si porter toutes ces protections pour dormir est contraignant.

Puis vient le temps de l'embarquement et là ... On se sent beaucoup moins rassurer. Les hôtesses et stewards ne ressemblent plus aux hôtesses et aux stewards de l'avant Covid. Nous avons l'impression de rentrer dans une zone de haute sécurité ou dans un laboratoire de type 4. Devant les enfants, nous essayons de faire comme si cela était normal, mais nous ne sommes pas fier. Le personnel à changer son uniforme, au revoir les jolies costumes et bienvenue aux combinaisons total avec masque et gants bleus.

Malgré leurs nouveaux uniformes, la première partie du vol se passe bien. Le personnel est attentif, les enfants sont surexcité de tout ce qui peut se passer dans l'avion et le temps du sommeil est long à venir. Finalement, après avoir manger et regarder un dessin animé, ils s'endorment dans un sommeil profond.

Nous arrivons aux Quatar et le réveil est difficile pour les enfants, coucher très tard, réveillé très tôt... Mais une fois totalement réveillé, ils sont surexcité d'arriver dans un nouveau pays, même si nous n'enverrons que les pistes d’atterrissages.

En arrivant au Quatar, on se rend compte que c'est un aéroport carrefour qui sert à rapatrié toutes les nationalités chez eux. L'aéroport est bondé de monde et toutes les langues sont parlées. Les gens se couchent là où ils trouvent la moindre petite place, même dans les jeux d'enfants.

Notre vol ayant du retard, nous en profitons pour faire une petite sieste.

Puis enfin, il est temps de repartir direction Paris.

Arrivé à Paris, là c'est un nouveau monde. Le personnel volant est habillé comme avant l'épidémie du Covid, sauf qu'il porte un simple masque et parle Français.

Bah, oui pour nous cela est vraiment étrange cela fait plus de 16 mois que les gens nous parlent dans une autre langue que la notre. Alors au début, on est un peu étonné ;)

Nous pensions devoir passer des petits tests de santé avant de pouvoir sortir de l'aéroport, mais non rien du tout.

Vous vous souvenez des papiers relatif au Covid remis à notre enregistrement à Bangkok? Ces papiers devaient servir de traceurs pour savoir à côté de qui nous étions assis sur les temps de vol et bien personne ne me les as demandé. Même pas les douaniers qui tamponnent les passeport, alors que je les avais glissé visiblement pour qu'ils soient récupérés.

En moins d'heure nous étions libre en France, alors que nous venions de deux pays étrangers et que nous avions partagés plus de 16H00 de notre temps avec des personnes venant de toute la planète.